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![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Délibérément axée sur la création artistique contemporaine et son rôle dans le développement territorial, le master « Culture, création artistique et développement du territoire » a pour objectif général de former des professionnels de la conception de projets culturels et urbains. Cette formation vise à donner aux étudiants une bonne culture artistique, les connaissances nécessaires au management de projets ainsi que la conscience de la place de la culture dans le développement territorial et inversement. Le programme alterne cours théoriques (histoire des arts, philosophie de l’art, anthropologie de la culture et sociologie urbaine, droit, gestion, connaissance des collectivités territoriales et de l’aménagement rural et urbain), travaux dirigés (études de cas, conceptions de projets, langues vivantes, analyses de manifestations artistiques, techniques de communication, diagnostic et enquêtes de terrain), rencontres avec des artistes et des opérateurs culturels, visites de structures culturelles et stages de pratique artistique. Nous avons également ouvert un cours d’initiation à la recherche afin de permettre aux étudiants de réfléchir, à l’aide des chercheurs du laboratoire de rattachement, aux questionnements contemporains qui traversent leur formation et dans le but de leur donner la possibilité de se diriger, s’ils le souhaitent, vers un doctorat. A la fin du cursus de deux ans, l’étudiant doit :
La première année est centrée sur les connaissances de base : histoire des arts, sciences humaines et sociales, connaissance des collectivités territoriales, gestion, communication, anglais et conception graphique. Dans une perspective de professionnalisation, la deuxième année enseigne aux étudiants à concevoir et mettre en œuvre un projet culturel. Une proportion importante des cours est assurée par des professionnels. Les cours ne sauraient suffire à donner aux étudiants l’ensemble des connaissances nécessaires. Ils doivent être complétés
A cet effet, des efforts importants sont fournis par l’Université pour permettre aux étudiants
A la fin de la 1ère comme de la 2ème année, les étudiants devront être capables de parler au minimum de 30 œuvres qu’ils auront lues, vues ou entendues dans l’année (livres, films, expositions, spectacles, concerts). La présence en cours et aux sorties culturelles est obligatoire. Une feuille de présence sera distribuée en cours et au moment des sorties. Nous n’accepterons pas plus de 3 absences injustifiées. Des stages complètent la formation théorique. Ils peuvent se dérouler soit dans une institution ou une entreprise culturelle, soit dans les services culturels d’une collectivité territoriale. En 1ère année : Le stage dure de deux mois et demi minimum à quatre mois maximum. Il est conseillé aux étudiants de se limiter à un stage trois mois afin de garder le temps nécessaire à la rédaction du rapport de stage. Le rapport de stage doit être de soixante pages minimum. L’étudiant doit :
S’ils ont obtenu les crédits ects correspondant à l’ensemble des examens, les étudiants qui redoublent leur 1ère année de Master sont autorisés à faire jusqu’à 5 mois de stage durant cette année de redoublement. La sélection d’entrée en master 2 comporte une épreuve écrite permettant d’évaluer la culture et l’expression écrite du candidat, et un entretien oral pendant lequel seront appréciés la motivation du candidat pour le cursus, sa connaissance du milieu professionnel, sa curiosité envers la création artistique contemporaine dans différents domaines et sa capacité d’analyse. Les étudiants ayant obtenu en 1ère année au moins 14/20 de moyenne générale ainsi que 14/20 à l’unité « Création artistique » seront dispensés de la sélection d’entrée en 2ème année et au moins 16/20 au rapport de stage. En 2015, la sélection d’entrée en master 2 aura lieu à la fin du mois de juin. Elle sera exclusivement ouverte aux étudiants ayant fini leur master 1 et donc ayant déjà soutenu leur rapport de stage. En 2ème année : Le stage dure de cinq à six mois. Il doit être l’occasion pour l’étudiant de mettre en œuvre un projet culturel et de porter un regard critique sur le monde professionnel vers lequel il se dirige. Le mémoire, à la différence du rapport de stage de Master 1, se veut une réflexion théorique sur l’art, la culture et leurs relations avec le développement territorial. De quatre vingt pages minimum, il prendra appui en partie sur l’expérience professionnelle, vécue pendant le stage ou ailleurs, et sur les lectures théoriques. L’étudiant doit :
En 1ère comme en 2ème année, les étudiants soutiendront leur travail écrit devant un jury composé d’au moins deux membres et associant si possible un professionnel (le tuteur de stage) et un enseignant de l’université (le professeur référent qui conseille l’étudiant durant son travail de recherche et de rédaction). Les étudiants de Master 2 réaliseront collectivement en 2014-2015 un projet culturel en situation réelle. Ce projet sera l'occasion pour les étudiants de proposer un événement artistique dans le territoire dunkerquois. Quelques règles typographiques essentielles (à respecter impérativement dans vos travaux, rapports de stage et mémoires) Ponctuation : Seuls le point et la virgule sont accolés au mot qui les précède, tous les autres signes de ponctuation sont précédés (et bien sûr suivis) d’un espace. Citations : Elles se font dans le corps du texte, à moins d’être particulièrement longues, auquel cas on ira à la ligne pour la citation, et après celle-ci pour reprendre le fil du texte. On respecte la mise en forme du texte cité (on ne mettra p. ex. en italiques que les mots qui étaient en italiques dans le texte que l’on cite), les citations sont bien sûr encadrées par des guillemets. L’appel de note est accolé au dernier mot du texte, avant la ponctuation et les guillemets (ex. : « Le bon sens est la chose du monde la mieux partagée1. ») Toute citation exige une référence précise. Références : Les références sont indispensables, et doivent permettre au lecteur de retrouver le texte cité ou signalé dans le document original. Lorsque la référence est un livre, on indique d’abord le nom de l’auteur en majuscules, puis son prénom (minuscules), puis le titre de l’ouvrage en italiques (sans guillemets), puis le lieu de publication, puis l’éditeur, puis l’année de publication, enfin le numéro de la page citée (indispensable s’il s’agit d’une citation précise). Ex. : DANTO Arthur, Après la fin de l’art, Paris, Seuil, 1996, p. 132. Lorsque la référence est un article, dans l’ordre : nom en majuscules, prénom en minuscules, titre de l’article entre guillemets (pas d’italiques, à moins que le titre original en comprenne), titre de la revue en italiques, numéro de la revue, date de publication et enfin page s’il s’agit d’une référence précise (en particulier pour les citations). Ex. : HEFFERMAN James A., « Resemblance, Signification, and Metaphor in the visual Arts », Journal of Aesthetics and Art Criticism, vol. XLIV, n° 2, hiver 1985, p. 173. Lorsque la référence provient du web, il faut indiquer le nom de l’auteur comme indiqué précédemment ou le nom de l’organisme, le titre de l’article/de la page web, l’URL précise (pas seulement l’adresse du site où vous avez trouvé l’information) et enfin la date de consultation (entre parenthèses). Les mêmes règles sont à respecter dans la bibliographie bien sûr. Lorsque vous faites référence plusieurs fois de suite à la même page (livre, article, page web), ne répétez pas en note la référence, notez seulement : Ibid. (= ibidem, soit : au même endroit). Lorsque vous citez plusieurs fois de suite le même texte mais à une page différente, notez : Ibid., p. 52). Lorsque vous citez un livre ou un article que vous avez déjà cité quelques notes ou quelques pages auparavant (référence qui est à priori encore dans l’esprit du lecteur), inutile de reprendre intégralement toute la référence ; vous indiquez seulement le nom de l’auteur selon les règles prescrites (majuscules/minuscules), suivi de : op. cit. (= opus citatum, c’est-à-dire œuvre/ouvrage cité), suivi du numéro de la page citée. Ex. : DANTO Arthur, op. cit., p. 307. Naturellement, si vous avez cité plusieurs ouvrages du même auteur, dans la référence vous devez préciser de quel ouvrage de cet auteur vous parlez. Ex. : DANTO Arthur, Après la fin de l’art, op. cit., p. 307. Cela vous évite de rappeler le lieu de publication, l’éditeur et l’année de parution. Principe général : agissez avec logique, de telle sorte que les références soient les moins lourdes possibles tout en étant parfaitement claires pour le lecteur. En cas de doute, ouvrez un livre d’une édition universitaire (ex. : PUF) pour suivre ses règles typographiques et bibliographiques. ![]() |
![]() | «Gestion des collectivités territoriales», iup d’administration des collectivités territoriales, Université d’Orléans | ![]() | «sensibles» Ex : droit, économie-gestion, staps, sciences de la vie, psychologie, sociologie, aes, lea anglais-espagnol; arts du... |
![]() | «pôle urbain» (partie centrale de l’«aire urbaine») l’agglomération correspond approximativement au pôle urbain | ![]() | «l’art» (dans le fascicule «Philosophie de la culture» rédigé par Yves Baudrin, pages 34 à 58) |
![]() | «femme s’est-il construit en anthropologie ? Le sujet «femme» en anthropologie | ![]() | «L’image : les questions se rapportant à l’image sont posées à partir des réalisations des élèves et des reproductions d’œuvres d’art... |
![]() | «Arts, Culture, Territoire» dans le cadre de la semaine des Curie d’Arts» au lycée Pierre et Marie Curie de Menton, qui regroupait... | ![]() | |
![]() | «approche pluridisciplinaire et transversale des œuvres d’art» met en œuvre des compétences dans le domaine des tice et s’enrichit... | ![]() | «Notre époque se caractérise comme la prise de contrôle du symbolique par la technologie industrielle, où l'esthétique est devenue... |