télécharger 159.33 Kb.
|
Leurs coups d'œil, souvent, sont des clins d'œil comme s'ils ne pouvaient oublier le public qui leur faisait fête et qui a quitté les fauteuils du théâtre pour les retrouver ici. Pierre TCHERNIA, 1991. Page 12 « Déplacés » Rip HOPKINS 3 – 30 Novembre 2006 En collaboration avec la Galerie Le Réverbère de Lyon Rip HOPKINS est un photographe anglais né à Sheffield en 1972. « Fasciné par la France, où il vit depuis une dizaine d’années, il est membre de l’Agence Vu. Longtemps il a signé les photos et les films de Médecins sans frontière de la Bosnie au Timor-Oriental. Depuis sa série sur le Tadjikistan en 2000, il apparaît comme l’un des jeunes photographes documentaires les plus promoteurs de sa génération. Dans la série de portraits qu’il propose sur les descendants des populations d’Ouzbékistan déportées sous Staline- Russes- Grecs- Coréens- tous sont immortalisés dans des décors qui constituent une mine d’informations sur leur quotidien. Désigner de formation, Hopkins 32 ans attache une grande importance aux objets, aux intérieurs. « Les gens y affichent qui ils sont, leurs goûts, leurs affinités ». Son travail révèle ainsi admirablement l’histoire d’un pays dont on ne savait presque rien. Pour cette série il a fait longuement connaissance avec chacun de ses modèles et a vécu de longs mois dans le pays chez l’habitant … S’il a choisi l’Ouzbékistan c’est qu’il adorait lire des récits sur l’Asie Centrale alos qu’il était enfant. Et lorsqu’il a découvert cette mystérieuse contrée, elle a « touché son âme » et ça se sent dans ses photos. « Luc DESBENOIT » (Télérama). EXPOSITIONS
Paris Photo, Carrousel du Louvre, Stand Galerie Le Réverbère, Paris Regards sur 10 nouvelles capitales européennes (exposition collective de tous les lauréats de la Fondation Hachette) Champs-Elysées / Paris / Hôtel de Ville / Lille (Transphotographiques de Lille 2004)
Musée d’art moderne et contemporain, Strasbourg
Fnac, Paris (collective) 1999 Centre Georges Pompidou, Paris
PRIX ET BOURSES
LIVRES 2004 Déplacés – Editions Textuel Page 13 « Espaces et solitudes » Jean HERVOCHE 4 – 30 Décembre 2006 ² En collaboration avec la Société Photographique et Audiovisuelle de Saint-Malo « Dans les compositions de Jean Hervoche – comme on parle d’un compositeur – on entre toujours de plain-pied comme si l’on marchait dedans. Avec devant soi des immensités, des vastitudes de sable, de mer, de ciel et de nuages auxquels on accède par des ponctuations en plans successifs et décalés qui sont comme les cailloux d’un gué conduisant à l’infini. Il aime l’hiver qui dénude du noir au blanc, les vents qui font le ménage à grands coups, en haut et en bas, les jeux secrets qui s’instaurent entre le sec et le mouillé, le gracile et le massif ». PIERRE-JAKEZ HELIAS. Parmi les publications… Irlande – voyage intimiste – Album, texte de Bernard Berrou (octobre 2003) Islande, entre feu et glace – Album (2002) « Croix, paysages » Ed Siloë – 2005 Le légendaire Breton, tome 1 «Les lieux » Le légendaire Breton, tome 2 « Les Héros » Ed Christian Pirot – 2002 Page 14 PRINCIPALES EXPOSITIONS 2005 Bordeaux Musée d’Aquitaine Festival « itinéraires des photographes voyageurs 2005 Bignan Kerguéhennec Domaine de Kerguéhennec collectif collection du FRAC Bretagne 2005 Brest Université de Bretagne Occidentale Bretagne, terre de légendes Page 15
Nouvel Espaces Spectacles Licences spectacles catégories 1 et 3 n° 350885/350886 Page 16 «Cochon Loup, Itou Itou » Cie Hanoumat & et Le Pied d’Oscar – Brigitte Davy 49 – Angers Genre : Conte chorégraphique et musical Durée : 50 minutes Age : A partir de 5 ans Jauge : 130 personnes Date : Samedi 30 septembre 2006 Séance : 14 h 30 L’histoire Comme le nom de ce spectacle l’indique, c’est l’histoire de loup et de cochons…de trois cochons…vous voyez de quoi il s’agit ? A partir de ce grand classique des contes, la danseuse Brigitte Davy de la compagnie Hanoumat a travaillé sur une version qui allie avec harmonie le texte et la danse, les mots et le corps. Prenez un cochon stressé, un deuxième boulimique, un troisième plutôt cartésien, un loup affamé et séducteur toujours prêt à dévorer un petit cochon…et vous aurez tous les ingrédients réunis pour que l’histoire se rejoue en laissant place à l’imagination. A travers la presse Emotion et fantaisie caractérisent cette création qui donne par ailleurs l’occasion de découvrir de nombreux thèmes musicaux du menuet à la gavotte, en passant par la valse, le rap, ainsi que les montages de sons variés. Courrier de l’Ouest. Un spectacle qui balance entre humour, émotion et esthétisme, avec une large part laissée à l’imagination et à l’expression du corps, notamment en ce qui concerne les scènes de lutte ou de poursuite. Ouest France. Cochon Loup, Itou Itou est un spectacle original. Cette création d’une compagnie originaire du Maine-et-Loire, ne se contente pas d’être une simple adaptation. Elle reprend l’un des thèmes chers à la littérature enfantine : la peur du loup. Une crainte naturelle que les gamins sont invités à surmonter ensemble, à travers la danse. Républicain Lorrain. Page 17 JOFROI « Le rêve d’Antonin » 30 – St Privat Genre : conte musical Durée : 1 heure Age : à partir de 5 ans Jauge : 130 personnes Date : Jeudi 26 octobre 2006 (Vacances de Toussaint) Séance : 14 h 30 L’histoire En 1985, après le succès des « Aventures du Petit Sachem », JOFROI enregistre « le Rêve d’Antonin ». En 86, il monte sur scène. Commence alors une longue tournée à travers toute la francophonie – plus de 550 représentations – plantant son décor géant – un livre illustré, pourvu de panneaux en relief – faisant l’unanimité de la presse, des professionnels, des enfants et de leurs parents. Aujourd’hui, pour fêter les 20 ans d’Antonin, il a décidé de remonter le spectacle pour une saison. Le rêve d’Antonin c’est presque un classique du conte chanté, Jofroi reprend le Rêve d’Antonin. Embarquement immédiat à la poursuite d’un papillon, à l’intérieur d’un très vieil arbre. JOFROI chante, raconte, mime au fil des pages de son grand livre-décor et embarque le public dans un monde d’orages, de vents et de vallées, entrecoupant son récit de chansons épatantes, tour à tour espiègles, tendres ou truculentes. Un spectacle magnifique en forme de voyage initiatique, de vol plané au dessus d’un monde de géants, de plongée au cœur d’un arbre plusieurs fois centenaires… Les jeunes spectateurs en perdent leur souffle…et leurs aînés le retiennent ! Une féerie joliment écrite et interprétée par ce grand monsieur de la chanson. A travers la presse On tombe sous le charme en écoutant cette histoire entrecoupée de chansons d’un petit garçon parti à la poursuite d’un papillon. Le Nouvel Observateur. Ceux qui ne jurent que par Henri Dès seraient bien inspirés de découvrir les chansons de Jofroi. Les textes pleins de fantaisie, la musique entraînante, l’orchestration pétillante et la voix chaude de Jofroi valent le détour. Le monde de la musique. Les chansons sont superbes, drôles et tendres. Quand c’est fini, je me les repasse pour le plaisir ! Télérama. Page 18 « Contes défaits » Il était une fois la différence Compagnie Le Petit Vivier Genre : Conte théâtral Durée : 50 minutes Age : Pour chenapans de 5 à 11 ans Jauge : 130 personnes Date : Mardi 31 Octobre (Vacances de Toussaint) Séance : 14 h 30 L’Histoire : « Petit bonhomme » vient de se faire chasser de son conte, pourtant il en était le héros. Ses frères le trouvent « différent » et ne le supportent plus. Alors comment va-t-il retourner dans son histoire ? En imitant d’autres personnages rencontrés. Le loup, la fée et bien d’autres ?... Ou alors en réussissant à être lui-même. Auteurs et comédiens : Isabelle Séné et Bénédicte Ronac’h en sont les auteurs. Chacune de son côté a fait ses armes, pendant une dizaine d’années, à Paris. C’est parce qu’elles connaissent le même metteur en scène, Loïc Choneau, qu’elles se rencontrent en 2002. Le trio crée en 2003 la compagnie du Petit Vivier, à Saint Grégoire. Nourries par leurs expériences auprès d’adolescents, de personnes handicapées ou encore de personnes du troisième âge, Isabelle et Bénédicte mettent en place un « théâtre de gens ». Page 19 « Le Loup… Pas Peur » Compagnie Magnanarelle Calvados Genre : Conte et chant traditionnel Durée : 45 minutes Age : Dès 4 ans Jauge : 80 personnes Date : Samedi 4 Novembre 2006 Séance : 14 h 30 L’histoire : Des générations de conteurs ont mis en scène l’incarnation de nos peurs nocturnes à travers l’un des animaux le plus célèbre des contes traditionnels : Le Loup ! Il est détesté, aimé, inspire peur et admiration. C’est le mythe du personnage cruel, flagorneur, glouton, insidieux, faux et impie. Depuis Le petit chaperon rouge en passant par Les trois petits cochons jusqu’à L’enfant qui criait au loup, Marie Lemoine nous emmène dans le monde de cet animal aux pouvoirs maléfiques ou protecteurs, en suivant le fil initial des premiers écrits. Les contes sont accompagnés de chants traditionnels normands et bretons. Ce n’est que cette année que Marie Lemoine a décidé de travailler sur les contes traditionnels. Etonnant ? Pas si sûr… 18 ans de contes et la volonté de retourner aux sources, de raconter à sa manière, en restant fidèle à la trame initiale, ces récits qui ont bercé son enfance. Page 20 « La Vallée des Rires » D’après un conte de Philippe DORIN Compagnie Damuthée Co-production Théâtre Foz 14 - Czeully Séance : 14 h 30 Genre : Conte musical et théâtral Durée : 55 minutes Age : Tout public à partir de 5 ans Scolaire à partir de 6 ans Jauge : 130 (adultes et enfants) Dates et séances :
L’histoire : Il était une fois une petite fille qui n’avait ni papa, ni maman pour lui raconter des histoires … Quand l’ogre arrive au village, Orpheline commence un fantastique voyage dans un monde de douceur. D’un côté le village avec la boutique de Mr Laviébel, les sacs de graines … de l’autre côté, la forêt avec ses arbres, ses fées, sa magie. Entre deux, Orpheline dans son monde plein de poésie, de tendresse et d’humour. Les comédiens : Jeu : Isabelle Alfred. Elle anime également plusieurs ateliers théâtre dans sa région. Jeu et musique : Emmanuel Ricard – Percussionniste et compositeur il traverse la rue, l’Afrique, le jazz, le cirque, le théâtre depuis 25 ans. Il trafique, fabrique, détourne des objets et les recycle. Au sein de la compagnie Damuthée, il continue conjointement avec Isabelle Alfred une démarche de pédagogue et de créateur autour d’une recherche plus étroite encore entre le jeu, le geste musical et théâtral. Page 21 « Louis, l’Enfant de la Nuit » Création et mise en scène : Patricia O’Donovan Cie Ambulo/Train Jérusalem Israël Genre : Théâtre de papier et d’objets Durée : 55 mn Jauge : 130 Age : Tout public dès 6 ans Dates et séances :
L’histoire Le spectacle est fondé sur la vie de Louis Braille, qui vécu au XIX siècle. A l’âge de 3 ans, il perd la vue à la suite d’un accident et apprend à percevoir le monde par les sons et le toucher. Mais les pages des livres gardent leur mystère pour ses mains qui glissent sur les pages lisses. Comme tous les aveugles à cette époque, Louis était condamné à ne savoir ni lire ni écrire. Sa soif de connaissance, conjuguée avec le soutien et le dévouement de ses proches, lui permit de créer à quinze ans ce qui est désormais appelé « l’alphabet Braille pour les aveugles ». Le spectacle se présente sous une forme minimaliste, utilisant des matériaux issus du monde des livres : papier, encre, crayons. La lumière elle-même est manipulée sur scène. La comédienne utilise des moyens merveilleusement simples. Ses personnages de papier font rarement plus de 20 centimètres. L’éclairage obtenu grâce à une lampe de bureau et quelques bougies est tout à fait approprié. Ainsi, lorsque ces bougies sont placées derrière les trous d’un masque en papier, même les plus jeunes spectateurs peuvent ressentir ce que c’est que de perdre la vue. La comédienne raconte cette histoire en français, sans sentimentalité aucune, presque avec détachement. Mais dans la délicatesse et la tendresse qu’elle insuffle aux créatures de papier il y a aussi un sens de l’imagination et de l’humour qui réchauffe le cœur. Quelques crayons se transforment en une classe d’enfants bruyants et grâce à la couleur différente de l’un d’entre eux, le public devient parfaitement conscient de la solitude de Louis, le petit aveugle. A travers la presse « Que faire et que dire, lorsqu’il vous faut écrire sur un spectacle qui vous laisse sans voix ? Que dire de cinquante minutes de plaisir qui laissent les enfants émerveillés et les adultes renversés ? Les mots portent déjà atteinte à la magie du spectacle qui, fait de tous petits riens, laisse exploser l’imaginaire du spectateur et parler l’ineffable. Dernières Nouvelles d’Alsace. Page 22 « D’une histoire qui compte son lot de difficultés et de douleurs, elle a éliminé tout pathos, toute compassion larmoyante. Sorte d’ascèse théâtrale, « Louis, l’Enfant de la Nuit » est pratiquement anti-spectaculaire. Une leçon de minimalisme qui arrive pourtant à toucher les enfants et à les faire rire aux larmes ». Le Monde. «…Par conséquent on prend un plaisir tout particulier dans le charme, la fantaisie et l’enthousiasme qui se révèle dans le spectacle de Patricia O’Donovan, de Jérusalem. Usant de simples figurines de papier et des crayons, elle nous raconte comment le jeune aveugle qu’était Louis Braille en vint à inventer l’alphabet Braille à l’âge de quinze ans. « Louis l’Enfant de la Nuit », le titre du spectacle, a été traduit en allemand par « Un Rayon de Lumière ». C’est on ne peut plus vrai ! Der Berlin Tagespiegel. |
![]() | «Dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation- année scolaire 2012-2013» texte de référence | ![]() | «l’inopportunité d’engager des ressortissants étrangers à adresser des demandes d’adoption»2 |
![]() | ![]() | ||
![]() | ![]() | ||
![]() | ![]() | ||
![]() | «Les courses de chevaux pour les prix d’Arrondissements devant avoir lieu au Champs de Mars… j’ai l’honneur de vous adresser des... | ![]() |