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I.R.$. Tome 11 Recto/verso TOME 11 – « LE CHEMIN DE GLORIA »Scénario: S. Desberg Dessin : B. Vrancken Alors qu’il revient tout juste de Rome, Larry B. Max est une nouvelle fois rattrapé par ses fantômes ! Plus de dix ans après l’accident d’avion qui coûta la vie à ses parents, de nouvelles informations tendent à prouver que le crash fut commandité. Ces faits nouveaux ramènent l’agent de l’I.R.S. à une autre époque, au temps où son père était contraint d’accepter l’argent sale de Johnny et où Kate Absynth enflammait les esprits. Au temps, surtout, où certains secrets restaient enfouis. Mais rien ne dure jamais. Aujourd’hui, Larry B. Max doit affronter la réalité pour éviter que le passé ne se répète… Ce 11e tome de la série à succès «I.R.$». inaugure un nouveau diptyque au ton un peu différent. Comme seul et unique cadre de cette nouvelle intrigue, le scénariste Stephen Desberg a choisi, à l’instar d’un James Ellroy, Los Angeles, la «Cité des Anges» où le crime organisé finance le cinéma, où l’argent sale est recyclé dans le rêve planétaire. Les Johnny Madsen de tout poil y font leur loi, instrumentalisant les êtres à grandes traces de poussière dans les narines des anges, comme Kate Absynth. Au milieu de toute cette corruption, Larry B. Max fait plus que jamais figure de chevalier blanc. Il évolue maintenant dans un monde tout en nuances de gris, grâce aux lavis du dessinateur Bernard Vrancken. Ce dernier a en effet profité de ce nouvel album pour faire évoluer son travail. Il intègre dorénavant de somptueux lavis à son trait, allant vers toujours plus de réalisme et de profondeur. Un choix on ne peut plus approprié pour cet album dévoré par les ombres ! Interview Bernard Vrancken BERNARD VRANCKEN, LE DESSINATEUR, S’EXPLIQUE : Après 10 tomes d’ «I.R.$.», «Le Chemin de Gloria» donne à Bernard Vrancken l’occasion de faire évoluer le dessin de la série, vers un réalisme encore accru. Le monde de Larry B. Max n’aura jamais été autant en nuances de gris ! Pouvez-vous nous présenter «Le Chemin de Gloria » ? «Ce 11e tome inaugure un nouveau diptyque dont on peut dire qu’il marque un changement de ton. Nous y développons encore la relation entre Larry et Gloria, mais, comme dans les romans noirs, tout se passe à Los Angeles. C’est une intrigue un peu plus policière. L’ambiance est moins lisse qu’à l’accoutumée, plus glauque. Pour moi, ce changement d’atmosphère fut l’opportunité idéale d’essayer de développer les lavis.» Pourquoi ce choix de dorénavant traiter vos planches en lavis ? «J’avais terriblement envie de me remettre en danger pour ne pas tomber dans une routine. J’étais fatigué… Non par la série, mais par l’uniformité de mon trait. Je ne pouvais pas opter pour la couleur directe car cela aurait provoqué une rupture trop radicale. Peut-être parce que je suis légèrement daltonien, j’ai de plus toujours été attiré par les lavis, les déclinaisons monochromes… L’approche monochrome me permet de me concentrer sur l’ombre et la lumière, comme dans les films expressionnistes des années 1930 que j’ai toujours adorés.» Vous n’avez pas peur de perturber votre public ? «Non. Le problème se posait en effet de rester dans la continuité. J’ai fait quelques planches de test. Stephen Desberg, le scénariste de la série, et l’éditeur ont trouvé que c’était davantage une progression qu’une rupture. Depuis, j’ai refait quelques tests. Dans mon entourage, on m’a dit que mon dessin y gagnait en souplesse et en réalisme. Les couleurs réalisées par Marie, mon épouse, masquent cependant le changement de technique aux yeux de la majorité des lecteurs.» Cette nouvelle technique doit quelque peu influer sur votre collaboration ? «Effectivement, cela me permet de placer directement les zones d’ombre et de lumière. Avant, Marie s’en chargeait. Comme elle n’est pas dessinatrice, ça lui prenait toutefois un temps fou. Depuis que je les place moi-même, ils sont plus variés et spontanés. Je n’ai pas besoin de documentation en permanence. C’est plus rapide et c’est plus proche du résultat que je souhaite. Le mélange des couleurs informatiques et de la matière laissée par le lavis donne un petit côté artisanal. Le résultat final est très sympa.» LES AUTEURS Stephen Desberg, le dessinateur Né à Bruxelles le 10 septembre 1954, Stephen Desberg a débuté dans la bande dessinée en écrivant, dès 1976, de courtes histoires complètes pour le journal «Tintin» édité par Le Lombard. Ce n’est toutefois qu’en 1978 qu’il entame une carrière de scénariste professionnel. Depuis, il ne s’est guère reposé, passant avec aisance de l’humour («Billy Ze Cat») à l’aventure («Le Scorpion», «I.R.$.»), du fantastique («Mayam») à la saga romanesque («Le Sang noir»). A travers son œuvre se dégagent des thématiques profondes, telles que la réflexion sur la nature des Etats-Unis, son pays d’origine («Black OP», «Tosca»…), les mythes religieux («Les Immortels»), les rapports entre cultes et pouvoir ou la nature profonde et l’avenir de l’humanité («Rafales»). Il a récemment ajouté à son arc la corde du thriller historique avec «Cassio» (au Lombard, avec Reculé), avant de lancer l’ambitieux projet éditorial qu’est «Empire USA» (Dargaud). Aujourd’hui, avec divers dessinateurs, il s’apprête à donner une dimension supplémentaire à «I.R.$.» en lançant au Lombard sa série dérivée, «All Watcher». Bernard VRANCKEN, le dessinateurNé en mai 1965 à Bruxelles-Ixelles, Bernard Vrancken se révèle très rapidement un dessinateur de talent. A 15 ans, il se classe parmi les lauréats d'un concours de dessins organisé par le Ministère de la Culture de la Communauté française de Belgique. Ce premier succès lui donne l'occasion d'approcher quelques grandes pointures de la bande dessinée, dont Franquin, le «père» du célébrissime «Gaston Lagaffe», et Yvan Delporte, entre autres scénariste d’«Isabelle». A 16 ans, il publie sa première histoire courte dans le journal «Tintin» édité par Le Lombard. Par la suite, Bernard Vrancken rencontre Stephen Desberg. Ensemble, ils créeront une dizaine de «nouvelles bédessinées» pour le mensuel «(A Suivre...)» édité par Casterman. Pour Le Lombard et toujours avec Stephen Desberg, il réalise «Le Sang Noir», une saga romanesque en quatre tomes maintenant réunis en un seul volume. Depuis 1998, il assure l'efficace mise en images du thriller contemporain «I.R.$.» publié dans la collection «Troisième Vague Lombard». . Encadré « Infos techniques » Série : I.R.$. Scénario : S. Desberg Dessin : B. Vrancken Tome : 11 Titre : Le Chemin de Gloria Genre : Thriller Public : Adolescents/adultes Format : 22,3 x 30 cm. – 48 pages couleurs Album cartonné Prix de vente : 10,40 € - 20,20 CHF ISBN : 9782803625253 Collection : Troisième Vague Lombard Éditeur : Le Lombard Parution : Juin 2009 Contacts Presse FRANCE Diane RAYER Sophie de SAINT-BLANQUAT LE LOMBARD 15/27, rue Moussorgski F – 75018 Paris Tél : 33 (0)1 53 26 32 31 Fax : 33 (0)1 53 26 32 40 d.rayer@lelombard-france.com sophie@lelombard-France.com BELGIQUE Anne-Marie DE COSTER LE LOMBARD 7, avenue Paul-Henri Spaak B – 1060 Bruxelles Tél. : 32 (0)2 526 68 26 Fax : 32 (0)2 526 68 34 annemarie.decoster@lelombard.be SUISSE Gilles DEVAUX DARGAUD SUISSE En Budron B13 CH – 1052 Le Mont sur Lausanne Tél. : 41 (0)21 651 64 64 Fax : 41 (0)21 651 64 65 gdevaux@dargaudsuisse.ch CANADA Aline PLANTE DLM 5757, rue Cypihot Saint-Laurent, Québec H4S 1R3 Tél : 00 1 514 334-2690 poste 275 Fax : 00 1 514 334-8289 aline.plante@erpi.com Il vous est possible de télécharger couvertures d’albums, photos d’auteurs sur le site «Espace Presse» : http://presse.lelombard.com Mot de passe : images |