La Rencontre des Européens avec les Premières Nations :
“L’autre” histoire
Source: Radio Canada international http://www.rcinet.ca/autochtones/?page_id=7#go_page_now
 
Le premier nom que les Français ont donné aux terres qui allaient devenir « la Nouvelle France » et, ensuite, « le Canada » : l’___________________.
Ce que les historiens appellent la « Conquête » de l’Amérique du Nord par les Européens commencent au début des années 1500 ; l’historien québécois Serge Bouchard appellent ces Européens les « _____________________ ».
Les pays européens qui établissent la plupart des colonies au début du 16ème siècle sont : les Espagnols et les _________________________________ (surtout en Amérique centrale et Amérique du sud).
Les trois autres puissances européennes : les Anglais (commençant en ___________________, nommée pour Élizabeth 1 et Massachusetts), les _________________________ (qui établissent Haarlem et Nouvelle _______________________________ dans ce qui deviendra New York) et les Français.
L’explorateur portuguais Cortès-Réal essayait, depuis son arrivée en 1502, d’établir une colonie pour le Portugal au ______________________________________ (en Nouvelle Écosse).
Les ____________________________ ( ◄un nombre) Aborigènes kidnappés par Cortès-Réal seront vendus comme esclaves en Europe… il n’y aucun record de ce qui est arrivé à eux par la suite.
Les premiers Aborigènes que Jacques Cartier, de la France, a vu (sans les rencontrer) étaient des ________________________________ de la Terre-Neuve.
Les Béothuks faiasient partie du groupe linguistique, les « Algonquiens » (un terme ‘_________________’, qui regroupe toutes les Premières Nations du B_________________ canadien, comme le dit l’historien Bouchard).
Cartier a aussi vu des _______________-_____________________ pendant sa première visite au futur Canada en 15______.
Les Innus-Montagnais de la côte du L___________________ essayaient d’attirer le bateau européen sur lequel était Cartier en allumant des feux sur la côte et en montrant des peaux de _______________________ sur des bâtons. Mais Cartier était trop ________________________é pour descendre les rencontrer !
Descendu dans le Golfe du Saint-Laurent, le bateau de Cartier a rencontré des ________________________ (chiffre) de canots pilotés par les Mic-Macs, venus rencontrer les Européens.
C’est enfin dans la Baie des _____________________ que Cartier va finalement laisser les Aborigènes monter à bord son vaisseau pour les rencontrer face à face.
Cartier écrit dans son journal qu’il trouvait ces Montagnais « trop nombreux », « ______________________deurs » ( = ‘qui volent des objets’), et « menaçants ».
Le 4ème groupe que Cartier a rencontré pendant son 1er voyage était des Iroquoiens venus de ce qui est aujourd’hui la ville de ____________________.
Ces Iroquoiens avaient un mot pour le ‘v________________ de c______________________’ où ils habitaient : « KANATA ». Cartier a interprété cela comme voulant dire que tout le territoire (donc le pays) s’appelait « Canada » et que ces Aborigènes étaient les « ________________________s ».
L’année suivante, en 15_____, Cartier est revenu directement aux Iroquoiens et va pousser plus loin dans le fleuve ___________-_______________, où il a rencontré les Aborigènes d’H_______________________ (là où se trouve aujourd’hui Montréal).
Plusieurs historiens sont d’accord de dire que les premiers contacts prolongés entre les Aborigènes du Canada et les Français étaient « _______________________s ». Plusieurs facteurs y jouaient : la difficulté des ________________, le comportement des Européens, les m_______________ (ex. le scorbut), les __________ ________________________(quand on ne se comprend pas) la méfiance des Autochtones et leurs attaques contre ces « envahisseurs ».
Les Aborigènes, de leur part, étaient émerveillés par le montant de POILS ( !) qu’avaient les hommes européens (ils les ont surnommés « les ____________ » et les « peaux ____________________es ») et les ont trouvés assez f_____________et peu robustes, surtout pendant l’hiver.
|