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festival d’été – les tombées de la nuitprogrammationdans rennes - du 2 au 10 juilletjeudi 7 juillet à 17hvisite tactile de l’exposition anima (ex) musica / le bestiaire utopique, en présence des artistes.une création de mathieu desailly (plasticien) , vincent gadras (scénographe) et david chalmin (musicien). bestiaire sonore instrumental et mécanique en s'appropriant les restes éparpillés d'instruments de musique qu'ils démontent, remontent et assemblent, mathieu desailly, vincent gadras et david chalmin créent d'incroyables sculptures sonores en forme de créatures animales. dans un fascinant mouvement fusionnel de bois et de métal, insectes, crustacés, trilobites et arachnides s'animent, vibrent et ondulent pour jouer leur partition musicale. après la création en performance de leur cinquième pièce, à l'écomusée du pays de rennes en avril dernier, tout reste encore à faire dans cet étonnant souffle naturaliste et plastique où se croisent et fusionnent travaux d'entomologistes, de sculpteurs et de musiciens… dans le magnifique cadre du cloître de l'hôtel dieu, arthropodes géants, scarabée, sauterelle et araignée seront tout à leur aise pour nous transporter dans leur seconde vie mécanique et poétique. infos pratiques : site de l’hôtel dieu à rennes, 2 rue de l’hôtel dieu, 17h, durée : 1heure environ. réservation obligatoire à accueilpublic@lestombeesdelanuit.com samedi 2 et dimanche 3 juillet, concert par l'orchestre des sirènes / siestes musicales et concertsfranz clochard & cie la mécanique vivante (france) avec seb martel (guitare) et laurence meisterlin (percussions). franz clochard (direction artistique). concert symphonique mécanique pour sept sirènes d'alerte il y a dix ans, les quatre premières « sirènes polyphoniques » de franz clochard bouleversaient la place de la mairie. au fil d'une véritable aventure artistique et technologique, alliant recherche en robotique, acoustique et lutherie mécanique, l'orchestre des sirènes compte aujourd'hui ses sept pupitres (une piccolo, deux sopranos, deux altos, une ténor et une basse) pour acquérir toute la puissance et la sensibilité d'authentiques instruments de musique. métamorphosant les possibilités des traditionnelles sirènes d'alerte, évoquant la voix humaine, le violoncelle, le hautbois et d'autres sonorités polymorphes, ces étranges fleurs sonores envahissent les prairies du canal saint martin pour nous propulser dans leur incroyable esthétique acoustique, en rencontre avec le guitariste seb martel et la percussionniste laurence meisterlin. infos pratiques : adresse : 76 canal saint-martin gratuit horaires : samedi 2 juillet : sieste musicale : de 15h30 à 16h et de 23h à 23h30 live : de 18h à 18h45 et de 20h30 à 21h15 dimanche 3 juillet : sieste musicale : de 17h à 17h30 et de 21h à 21h30 live : de 15h à 15h45 et de 19h à 19h45 samedi 2 et dimanche 3 juillet, exposition sonore « bruissement » de pascal pellanartiste pluridisciplinaire, adepte de la marche, même statique, pascal pellan pratique l’écoute depuis qu’il a transformé un aquarium à poissons en maternité pour grillons. dans une approche décalé, il invente une écriture sonore en manipulant des objets usuels, fabriqués, détournés. en lien avec ses recherches sonores, il propose des installations plastiques et commence depuis peu un travail autour du théâtre d’objets. il est un membre actif du collectif d’artistes les ateliers du vent, au sein duquel il a son atelier. infos pratiques : exposition : 2 et 3 juillet adresse : le bon accueil, 74 canal saint martin gratuit dates/horaires : samedi 2 : de 12h à 1h dimanche 3 : de 14h à 22h samedi 2 juillet, à 17h00, concert de pascal pellanartiste pluridisciplinaire, adepte de la marche, même statique, pascal pellan pratique l’écoute depuis qu’il a transformé un aquarium à poissons en maternité pour grillons. dans une approche décalé, il invente une écriture sonore en manipulant des objets usuels, fabriqués, détournés. en lien avec ses recherches sonores, il propose des installations plastiques et commence depuis peu un travail autour du théâtre d’objets. il est un membre actif du collectif d’artistes les ateliers du vent, au sein duquel il a son atelier. infos pratiques : concert : 2 juillet adresse : maison de la poésie, 47 rue armand rébillon de 17h à 18h, durée 1h gratuit samedi 2 juillet, 20h00, concert de maxence cyrin, piano solorelire à la lumière du piano classique des thèmes de massive attack, depeche mode, pixies, moby… sur le papier, l’approche ressemble à un énième exercice de style décalé. dès modern rhapsodies (2005), maxence cyrin lui a donné les accents d’un manifeste personnel. d’un côté, le français refuse toute séparation des goûts – logique, venant d’un homme formé au conservatoire et amateur de sons new-wave et electro. de l’autre, il dresse le constat que la pop a suffisamment nourri la mémoire collective pour être considérée comme un classique de la modernité. a l’œuvre dans ses propres pièces (nocturnes) comme dans son travail pour le cinéma ou la mode, ce regard qui réconcilie l’actualité et l’histoire compose aussi chez cyrin un bel éloge du détachement : c’est ainsi, semble-t-il nous souffler, en prenant de la hauteur, qu’on arrive à se baigner dans l’essence même de la musique. infos pratiques: chapelle de l’hôtel dieu, dans l’hotel dieu, accès au 2 rue de l’hotel dieu gratuit > billet à retirer sur place 30 min avant, jauge: 140 places durée 1h 20h dimanche 3 juillet, 17h30 concert de bruit noirvoici un projet parallèle de pascal bouaziz, la voix nue et l’âme forte du groupe mendelson. un pas de côté, donc ? oui, à ceci près que cet homme, depuis 20 ans, n’a jamais fait que cela : suivre la diagonale de ses désirs, creuser des voies obliques associant le tranchant du verbe et le cinglant du son. aiguillonné par le batteur-créateur jean-michel pirès (bed, married monk…), qui l’a invité à improviser des textes sur ses musiques, bouaziz trouve ici une combinaison idéale entre la lucidité dépouillée d’un homme qui dort de pérec et la fulgurance de suicide, éclats de sens et embardées free, humour et noirceur – comme si la mécanique du stand-up était détournée au profit d’un juste désordre musical et poétique. et si bruit noir s’inscrit bel et bien en marge de la production actuelle, c’est pour mieux illustrer le fameux mot de godard : “n’oubliez pas que la marge, c’est ce qui fait tenir les pages.” pascal bouaziz, textes, voix jean-michel pirès, composition, batterie infos pratiques: maison de la poésie: 47 rue armand rébillon gratuit de 17h30 à 18h30 dimanche 3 juillet, 18h30, concert événement no landolivier mellano – avec brendan perry et le bagad de cesson. léon-paul fargue affirmait que “les véritables frontières n’existent que pour ceux qui ne voyagent pas”. voilà pourquoi olivier mellano ne les distingue pas : musicien insolemment mobile, il œuvre pour que son inspiration circule librement, et que son identité jamais ne se fige. une utopie qu’il réalise encore dans sa nouvelle création, no land. s’appuyant sur l’un des emblèmes de la culture bretonne – le bagad et son ensemble de bombardes, cornemuses et percussions –, il en recrée les codes, en explore les ressources sonores cachées, pour signer un hymne hors norme, hors sol, appelant à s’élever au-dessus de la tradition pour mieux embrasser la belle immensité du monde. et comme ce périple doit s’accomplir au son de la voix envoûtante de brendan perry, fondateur et chanteur de dead can dance, on sait d’ores et déjà qu’il exaucera toutes ses promesses d’élévation et de majesté. olivier mellano – composition, basse brendan perry – chant bagad de cesson (30 musiciens) – bombardes, cornemuses, caisses claires, percussions. infos pratiques: place du parlement gratuit 18h30, durée 1h dimanche 3 juillet, 20h00, concert de eric chenauxbaladin d’avant-garde ? troubadour post-moderne ? crooner expérimental ? les mots s’épuisent à vouloir cerner le guitariste et chanteur eric chenaux. le canadien n’est pas homme à s’embourber dans des formules. en vingt-cinq ans d’activités, il s’est forgé l’étoffe d’un explorateur accomplissant ses découvertes au pas choisi du promeneur. il est de ceux qui, dans l’histoire de la musique, voient clair, large, et loin ; et c’est ainsi qu’il tisse des liens intimes entre mélopées médiévales et impros cubistes dignes de monk ou coleman, entre textures hachurées à la derek bailey et lignes claires propres aux standards de broadway, entre le folk épineux des origines et le satiné vocal d’un caetano veloso. nu ou zébré de traits bruitistes, tenu ou improvisé, son songwriting est comme une épure irisée de mille reflets, un alambic de distillation qui aurait la richesse d’une corne d’abondance. eric chenaux – guitare, voix. infos pratiques: chapelle hôtel dieu, 2 rue de l’hotel dieu gratuit > billet à retirer sur place 30 min avant 20h, durée 1h dimanche 10 juillet, concert fest-deiz transatavec : sylvain barou / ronan pellen / jacky molard / julien stevenin quartet, alambig electrik, sérot / janvier et la groove compagnie, hop’op’ops, bagad kadoudal, bagad roazhon fête à danser au cœur de la création musicale contemporaine bretonne depuis des années, skeudenn bro roazhon (collectif d’associations culturelles bretonnes du pays de rennes, organisateur du festival yaouank, plus grand fest-noz de bretagne) propose au cœur de la ville et du festival, sa sélection des meilleures formations contemporaines de musique traditionnelle à danser. sur le plancher de ce fest-deiz (« fête de jour » en breton), danseurs et mélomanes partageront à nouveau plinn, gavotte, andro, fissel et ridée. entre les recherches aux frontières géographiques de julien stevenin invitant le violon de jacky molard, le hip-hop jazzy d'alambig electrik, la fanfare à danser de la groove cie, les sonorités slaves d'hop’op’ops et les bagadou kadoudal et roazhon, nous plongerons dans la vitalité et l'ouverture de la création contemporaine autour des musiques traditionnelles d'ici. infos pratiques : place de la mairie gratuit de 14h à 20h dimanche 3 juillet gastronomie avec le marché à manger par les ateliers du bistrotdes plats salés, sucrés, bistrotiers, gastronomiques, étrangers,… et surtout locaux à moins de 8€ ! c’est l’idée du marché à manger qui s’installe, pour la première fois, le dimanche 3 juillet sur le parking intérieur des halles centrales à rennes. une vingtaine de chefs y cuisineront en live, devant des gourmands attablés en toute convivialité… et en musique avec dj ced ! en partenariat avec les tombées de la nuit. infos pratiques : parking intérieur des halles centrales gratuit de 11h à 17h au bord de l’eau a apigné - du 15 au 17 juilletvendredi 15 juillet à 21h00, concert de bamba wassoulou groovejanvier 2011 : bamako pleure zani diabaté, guitar-hero qui, aux grandes heures de son super djata band, fut surnommé le “jimi hendrix malien”. un an plus tard, son ami percussionniste bamba dembélé crée en son honneur un groupe qui rassemble vieilles branches (dont certains de ses ex-collègues du super rail band) et jeunes pousses : bamba wassoulou groove est né. dans l’entrelacement de ses trois guitares et de la voix surchauffée d’ousmane diakité, au croisement du blues, du funk et du “rock’n’roll de la savane”, se tisse une trame serrée, qui dépasse la seule célébration de la pulsation bambara : une histoire où se joignent les profondeurs de la mémoire et l’éclat du présent, le récit lointain de la tradition et la parole vive de la nouveauté, l’ombre portée des disparus et la lumière radieuse des vivants. une histoire comme seule la geste musicale du mali sait en narrer. baïni diabaté – guitare moussa diabaté – guitare dramane diarra – guitare rythmique ibrahim diombana – basse ousmane diakité – chant bamba dembélé – percussions maguett diop – batterie infos pratiques: adresse : base nautique d’apigné, rue de la planche gratuit de 21h à 22h30 vendredi 15 juillet à 19h00, concert de elli de monelli de mon, c’est la signature claquante que l’italienne elisa de munari a décidé d’apposer sur sa musique : une contraction/redéfinition de son propre nom, comme un juste écho à son blues-rock garage tendu comme un poing, précis comme un uppercut, resserré dans une formule “one-girl-band” qui en renforce encore l’intensité d’expression. l’art du condensé est la grande et belle affaire de cette chanteuse ouvertement électrique et secrètement éclectique : diplômée du conservatoire, guitariste classique de formation, experte en traditions musicales extra-européennes – principalement indiennes –, elle dispose d’un large éventail de savoir et d’expériences que, minutieuse alchimiste du son, elle réduit en un pur et bouillant précipité de rock’n’roll. une intelligence panoramique au service d’une sauvagerie brute : difficile de trouver plus redoutable force de frappe. elli de mon – chant, guitare, grosse caisse. infos pratiques: adresse : base nautique d’apigné, rue de la planche gratuit de 19h à 20h samedi 16 juillet à 21h00, concert de socalledpianiste, accordéoniste, rappeur, dj, producteur, journaliste, auteur de livres de cuisine, photographe, réalisateur, dessinateur, magicien, marionnettiste… le recensement des activités de josh dolgin, alias socalled, prend vite des allures d’inventaire délirant : bienvenue dans l’univers en fusion et le langage versatile de cet intenable montréalais, qui en 2011 déjà avait flanqué un beau tournis au public des tombées… irréductible au seul “klezmerfunk” dont il est le pionnier, ce vibrionnant zébulon recombine sans cesse les ingrédients de sa melting-pop, comme dans le récent peoplewatching, savant brouillage de pistes à l’usage des rêveurs à l’esprit d’escalier, marabout d’ficelle géant qui emmanche electro, soul, jazz, r’n’b, rap… une preuve encore que quelque chose, dans son inspiration comme dans son parcours, relève du pur jeu d’enfant – ou de l’enfance de l’art. infos pratiques: adresse : base nautique d’apigné, rue de la planche gratuit de 21h à 22h30 dimanche 17 juillet à 18h00, concert des hawaiian pistolerospour qui regarde le passé autrement que comme une immensité figée, l’histoire de la musique reste – et restera toujours – une terre d’aventures et de conquêtes sans limites. regardez les hawaiian pistoleros, ce gang de rennais issus des scènes folk, rock ou chanson : en se réunissant en 2011 autour de leur amour commun du répertoire populaire américain de l’entre-deux-guerres, ils ont transformé un héritage parfois oublié, et souvent méconnu par chez nous, en mine d’or. au carrefour mouvant du western swing, de la country, du folk, du jazz et de ce qu’on appelait jadis les “musiques de genre”, les pistoleros font mouche : le chanteur croone, le groupe joue souple et soudé, la steel guitar miaule, et une caravane de chansons passe, dépoussiérées et rafraîchies, comme autant de fantômes bien vivants qui traversent le présent avec la même affolante beauté qu’aux temps jadis. vassili caillosse – steel guitar, guitare vincent dupas – chant, guitare baryton adrien dutertre – guitare eric le guichard – contrebasse bertrand thepaut – ukulele, guitare et chœurs matthieu lesiard – batterie infos pratiques: adresse : base nautique d’apigné, rue de la planche gratuit de 18h à 19h15 dimanche 17 juillet à 21h00 dancing jazz band quartetraphaël imbert est un ogre. son premier appétit ? engouffrer les distances entre jazz, classique et chanson, sphères savantes et mélodies populaires. sa première soif ? partager avec ses semblables les fruits de ses découvertes. saxophoniste, compositeur, tisseur de fils d’or entre bach et coltrane ou entre le blues et l’impro, pédagogue, essayiste, chercheur, meneur de troupe (sa compagnie nine spirit), il rassemble toutes ses activités en une seule : celle d’éclaireur, défrichant et révélant les territoires de l’inouï. sur le parquet de bal de son dancing jazz band, une version torride de stand by me peut flirter avec une bombe d’ornette coleman, le jazz dixieland avec brassens, un standard de django avec une beauté klezmer. tout se relie par la magie de ce qu’une musique bien pensée et dansée sait être : un art suprême de l’enlacement, de l’étreinte amoureuse. - raphaël imbert, saxophones - thomas weirich, guitare - simon sieger, trombone, accordéon - jean-luc di fraya, batterie infos pratiques : adresse : base nautique d’apigné, rue de la planche gratuit de 21h à 23h |
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