Les arcades de shopping de Cardiff comprennent les centres et galeries marchandes à l'intérieur dans le centre-ville de Cardiff, Pays de Galles. Cardiff est connue comme la «Ville des Arcades", [1] en raison de la plus forte concentration de l'époque victorienne, édouardienne et contemporaines galeries marchandes à l'intérieur dans une ville britannique. [2]
Jusque dans les années 1790, il n'y avait que 25 magasins de détail à Cardiff. La plupart des commerces à l'époque a été faite à partir des étals de marché. [3] L'ouverture de la Royal Arcade en 1858, qui fut la première galerie intérieure construite à Cardiff, a considérablement augmenté le nombre de magasins à Cardiff.
Arcades victoriennes de Cardiff ont été attirent de nouveaux magasins et clients depuis sa sortie de la récession économique. Détaillants existants ont élargi qui démontre résurgence de centres commerciaux uniques de la capitale, selon les propriétaires, Curzon, qui est responsable de l'arcades High Street, Castle, Duke Street et Wyndham. La zone autour des arcades sera affectée par la piétonnisation de la rue High à la fin de 2010. Ce devrait attirer plus de clients et les touristes aux arcades victoriennes.
La longueur totale du centre-ville les arcades de Cardiff est 797 m
Bit Pit National Coal Museum
Big Pit est une véritable mine de charbon et un des musées des mines les plus éminents de la Grande Bretagne
Avec des équipements pour éduquer et divertir tous les âges, le site de Big Pit est une sortie journalière pleine d'informations et d'intérêt.
Visite guidée souterraine.
Descendez jusqu' à 300 pieds de profondeur avec un vrai mineur et découvrez ce que la vie était pour des milliers d'hommes qui travaillaient dans les mines de charbon.
Le Musée est aménagé dans un paysage industriel exceptionnel, classé dans le Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'UNESCO en 2000, en reconnaissance de son importance internationale dans le processus d'industrialisation par le biais de production de fer et de charbon.


« Un peu » d’histoire
L'existence de mines de charbon du pays de Galles est attestée dès le XIIIe siècle, mais le démarrage de la production à grande échelle fut plus tardif, en raison de difficultés de transport propre au pays de Galles. L'expansion ne fut vraiment spectaculaire qu'à la toute fin du XVIIIe siècle, une fois ces obstacles vaincus
Le bassin minier du nord du pays de Galles, le long de la rivière Dee, servait sous le régime des Tudor à approvisionner l'Irlande par bateau. Il profitera le premier des aménagements de rivière en Angleterre. L'installation d'une fonderie de cuivre et plomb à Treffynnon, dans le nord, à l'embouchure de la rivière Dee, canalisée au sud de Chester après 1732, puis prolongée par le canal d'Ellesmere1 nécessite du charbon. Thomas William emploie 1 200 ouvriers dans ses fonderies de cuivre de l'île d'Anglesey, à la pointe nord-est, détenant sa propre flotte de navires et construisant des matériaux pour les flottes françaises, hollandaises et espagnoles2.
Au sud, où les gisements se révélèrent encore plus importants, l'écrivain et député conservateur Sir Humphrey Mackworth (Jan 1657-1727) sera l'un des premiers entrepreneurs du charbon britannique et un des animateurs de la Société pour la promotion de la connaissance chrétienne, littéralement fascinée par le pouvoir de l'écrit, qui finance des écoles au pays de Galles. En 1686, il épouse Mary Evans de Neath où il émigre et hérite des terres à charbon de Sir Herbert Evans de Gnoll, qu'il rentabilise par des fonderies de cuivre et de plomb, en profitant du Mines Royal Act de 1689 puis fusionne avec les riches gisements découverts près de Gorredan par Sir Carbery Pryce, dans le Cardiganshire.
Sir Humphrey Mackworth construisit des bennes sur des rails de bois et obtint des concessions pour sa Company of Mine Adventures en 1704. Elle fit faillite en 1709 à la suite d'une enquête sur son financement puis fut relancée en 1713, après l'arrivée au pouvoir des conservateurs, sous le nom de Company of Mineral Manufacturers.
Swansea, principal port d'extraction du charbon gallois, expédie 0,15 million de tonnes de charbon en 1793 contre seulement 1800 tonnes en 1745. R. J. Nevil et John Vivian ouvrirent des fonderies de cuivre en 1805 et 1810 près de Swansea, qui augmentent les besoins de charbon. La plupart des mines se trouvaient dans les vallées de Merthyre et d'Aberdare et c'est surtout dans la deuxième partie du XIXe siècle que la production monte en puissance2.
La région doit la meilleure connaissance de son sous-sol à un autodidacte, investi dans la construction de canaux: William Smith (1769-1839), souvent considéré comme premier géologue britannique, qui établit des correspondances entre les pièces de sa collection de fossiles et les roches qui les entouraient, un stage dans une mine de charbon lui donnant l’intuition de la stratigraphie, par l'étude des fossiles stratigraphiques, base de la biostratigraphie. Pendant près de vingt ans, à pied ou à dos de mulet, il parcourut l’Angleterre et le pays de Galles, pour achever en 1815 la carte géologique à l'origine d'une bonne partie du vocabulaire minier3. Ce travail coïncide avec le rapport de 1815 de la commission royale d’enquête sur le travail des enfants dans les mines, qui retrouve la trace des wailer (enfant de moins de treize ans triant les résidus sur les wagons de charbon). Il est précédé par la constitution en 1807 de la Geological Society et la carte du bassin parisien tracée par Georges Cuvier et Alexandre Brongniart en 1808.
Le total de la production galloise est de 8,7 millions en 1855 et passe en un demi-siècle à 43,9 millions de tonnes en 19054. Vers 1913, plus de 250 000 mineurs gallois produisaient plus de 57 000 tonnes de charbon au pays de Galles et Cardiff était devenu le plus gros port de charbon du monde5.
Cette croissance fait passer en quelques décennies la population galloise de 0,5 à 2 millions d'habitants provoquant la surpopulation des étroites vallées du Sud de la région où le fer et le charbon sont souvent les seules industries. Le pays de Galles a aujourd'hui son Musée national du charbon de Big Pit
St Fagans: Musée National d'Histoire
« Un des meilleurs musées de plein air au monde »
Le Musée situé dans la périphérie de Cardiff raconte l'histoire des habitants du Pays de Galles; comment ils vivaient, travaillaient et passaient leur temps libre et la langue gallois peut être entendue en usage quotidien parmi les membres du personnel.
Le site de St Fagans est constitué de plus de 40 bâtiments authentiques qui ont été déplacés, pierre par pierre, à partir de différents lieux du Pays de Galles.
Ces bâtiments comprennent une rangée de logements ouvriers en fer, plusieurs fermes, une école et une église médiévale.
Le Musée est situé sur les terres du Château de St Fagans, un splendide manoir ancien de 400 ans, doté de beaux jardins paysagés.
Le Musée abrite plusieurs ateliers où les artisans tels que le forgeron et le sabotier montrent leurs compétences quotidiennement, et les champs du Musée abritent tout un éventail d'animaux de la ferme.
Le contenu des galeries intérieures expose des costumes traditionnels du Pays de Galles et du matériel agricole, ainsi qu'une galerie d'approche concrète qui ressemble à ce que signifie être Gallois et vivre au Pays de Galles aujourd'hui.


STONEHENGE
PrésentationStonehenge, dont le nom signifie "les pierres suspendues", est un grand monument mégalithique érigé
entre 2800 et 1100 avant J.C.
Il se trouve en Angleterre, dans le comté du Wiltshire, à 13km au nord de Salisbury et 4km à l'ouest d'Amesbury.
Ce site impressionnant est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO, de même que le cromlech d'Avebury situé à une trentaine de kilomètres au nord.
Ce monument primitif formé d'un ensemble de structures circulaires concentriques est l’un des plus célèbre au monde.
Histoire du siteLes pierres de Stonehenge ont reposé sur les collines du comté de Wiltshire pendant près de 4000 ans avant que les archéologues ne tentent de percer leur mystère.
Les premières fouilles scientifiques ont été menées sur le site à partir de
1901 par le professeur
Gowland.
La structure de StonehengeStonehenge se compose de
4 ensembles concentriques de pierres dont le diamètre total excède les 100 mètres.
L'ensemble extérieur est constitué de grands blocs de grès rectangulaires qui entourent un
deuxième cromlech de blocs plus petits.
A noter : un cromlech est un monument mégalithique caractérisé par un alignement de monolithes verticaux formant une enceinte généralement circulaire.
A l'intérieur des cercles se trouvent d’autres pierres monumentales, hautes d'une dizaine de mètres, et un ensemble de
trilithes en grès. Ces trilithes, composés chacun de 2 blocs verticaux surmontés d'un linteau, sont disposés comme des portiques en forme de fer à cheval.
Le monument est entouré d'un fossé circulaire de 104 mètres de diamètre et d'un talus présentant 56 cavités de grandes dimensions : les
trous d'Aubrey.
On a retrouvé dans ces cavités des fragments de charbon de bois, d'os humains carbonisés et de petits objets comme des épingles à cheveux en os ou de longues baguettes de silex taillé.
Le site présente également plusieurs dizaines de cavités funéraires plus petites, dont le contenu est similaire. Stonehenge aurait ainsi été utilisé comme
cimetière à crémation pendant plusieurs siècles.
Mystères et légendes de ce siteLes immenses monolithes de grès de Stonehenge ont été extraits de carrières situées à 40km au nord, dans les Marlborough Downs.
Le transport de ces blocs pesant jusqu’à 50 tonnes chacun représente
un chantier colossal qui a vraisemblablement mobilisé des milliers d'hommes durant des décennies.
Pendant plusieurs siècles, une légende populaire a été associée à l’édification de ce monument.
Le roi Aurélius aurait consulté Merlin l'enchanteur qui lui aurait conseillé d'envoyer ses hommes dérober le Ballet des Géants. Ses guerriers étant incapables de lever des pierres aussi lourdes, Merlin aurait prononcé une formule magique pour les rendre légères.
Les pierres auraient ainsi pu être embarquées et amenées sans difficulté à Stonehenge.
Par ailleurs, la fonction de ce monument a inspiré
de nombreuses théories, dont la plupart sont liées à la prédiction des phénomènes astronomiques : éclipse de soleil et de lune, solstice et équinoxe, calcul du calendrier selon les positions du soleil et de la lune par rapport à la Terre.
Plats traditionnels du Pays de GallesLes recettes traditionnelles sont à base de mouton, saumon, truite, accompagné parfois du légume national : le poireau.
Les chefs utilisent des produits frais et locaux, que ce soit dans les restaurants, pubs ou salons de thé.
La recette la plus originale que vous trouverez est le laverbread, à base d’algue et de flocon d’avoine. Un plat que les mineurs gallois prenaient au petit-déjeuner, bien qu’aujourd’hui la plupart d’entre eux l’aient troqué pour un traditionnel english breakfast. Il y a aussi la saucisse de Glamorgan (« Glamorgan sausage ») qui malgré son nom n’a rien à voir avec la viande puisqu’il s’agit en fait d’une sorte de mélange de pain de mie et d’épices. Citons encore le Cawl, un « pot au feu » de mouton, et le fromage de Caerphilly.
Les hôtels et Bed and Breakfast servent généralement un copieux petit-déjeuner anglais. Il comprend un bol de céréales suivi d’une assiette de bacon, œuf, saucisses, haricots blancs. Le déjeuner est un repas plus léger : sandwich, salade, soupe ou un plat léger. Le repas principal est servi le soir, généralement en début de soirée. Beaucoup d’établissements, en particulier hors des grandes villes ne servent plus après 21h30. Un plat typique est souvent une pièce de viande ou du poisson servi avec une variété de légumes : pommes de terre toute l’année puis suivant la saison : carottes, petits pois, poireau, épinards.
QUELQUES RECETTESLe Bara BrithC’est une sorte de cake, gâteau traditionnel que l’on prend au teatime.
Le cawlC’est une sorte de pot au feu que l’on prépare en faisant bouillir de la viande salée avec des pommes de terre, des topinambours, des carottes, des panais (turnip), du chou et des poireaux. On mélange de la farine d’avoine avec de l’eau pour épaissir la soupe.
Glamorgan sausageAutre spécialité galloise qui, malgré son nom, est végétarienne : c’est une saucisse faite de mie de pain, d’œufs et d’oignons.
BoissonsLe pays de Galles a une vieille tradition de whiskies. Mais sous les coups de butoir d'associations religieuses, la dernière distillerie ferma en 1899.
Depuis quelques années, la fabrique Penderyn, dans le parc du Brecon Beacons, a enfin su redonner au whisky gallois ses lettres de noblesse.
Au pays de Galles, goûtez le chwisgi, un whisky local.

CONVERSION
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| 3,59
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| 5
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| 5,71
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| 6,43
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| 7,14
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