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ConséquencesLe stressLes maltraitances psychiques, par leur répétition, peuvent être causes ou sources d’intenses stress continuels. Et si elles sont répétées maintenir la victime dans un état de stress, de peur, d’angoisse ou d’anxiété, de déprime ou dépression permanentes. Le stress66 (issu par l'anglais, lui-même de l'ancien français destresse) est, en biologie, l'ensemble des réponses d'un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Ces réponses dépendent toujours de la perception qu'a l'individu des pressions qu'il ressent. Selon la définition médicale, il s'agit d'une séquence complexe d’événements provoquant des réponses physiologiques, psychosomatiques67. Les maladies psychosomatiquesLes maladies psychosomatiques sont l'ensemble des troubles, syndromes ou symptômes ayant une base psychologique. Le facteur causal peut être le stress, le surmenage, l'anxiété, la dépression, l'insomnie et l'extrême fatigue... Les causes sont :
- pâleur et hérissement de poils ou cheveux, - ouverture des pores et suées, - dilatation des vaisseaux et bronchioles pulmonaires, - augmentation du rythme cardiaque, - diminution de sécrétion des enzymes digestives dans l'estomac et le ralentissement du transit intestinal (contractions musculaires moindres) ?
Les troubles les plus fréquents
- troubles digestifs et intestinaux (ballonnement, constipation, ulcère...) ; - troubles cutanés (verrues, couperose, herpès nasolabial, aphte, psoriasis, eczéma...) ; - troubles articulaires et musculaires (fatigues, douleurs, blocages...) ; - troubles vasculaires (migraine, hypertension artérielle, infarctus, accident vasculaire cérébral...) ; - troubles neurologiques (céphalées de tension, douleurs neuropathiques d’origines inconnues …). - troubles métaboliques (hypophagie ou hypophagie, retard de développement...) ; - troubles sexuels (perte de libido).
Troubles du comportementQuand n a été souvent rejeté, on ne peut que tisser des relations superficielles avec les autres. Ils sont trop enfermés dans leur malheur pour faire attention aux autres. Ils sont comme un animal blessé, qui ne souhaite rien d’autre que de fuir le monde à jamais, de s’endormir pour ne jamais se réveiller. Ils ont de grandes difficultés à gérer les émotions suscitées par des souvenirs qu’ils tentent d’effacer de leur mémoire. Ils vident tout leur sac (ils se vident de tout), selon un schéma se reproduisant chez les enfants ayant subi des sévices. Ils sont prêts à exploser à tout moment. Ils bouillent de rage. (Ils tremblent, se contiennent puis explosent). Ils sont incontrôlables comme leur colère. Ils rentrent dans une rage généralisée envers tel ou tel objet de haine. Les enfants perturbés, qui considèrent que les adultes les ont trahis, ont du mal à accepter toute forme de tendresse. (La haine perpétuelle, qui les hante ou les habite, disparaîtra-elle avec les années ?). Douleurs et violences morales : Malheureusement, les petits garçons terrorisés qui ont subi de tels sévices deviennent souvent des hommes perturbés et en colère. Chez certains, cette colère se transforme en violence. Les prisons sont pleines de jeunes hommes au triste passé. Les filles ont tendance à retourner cette colère contre elles-mêmes, en se mutilant ou en cherchant des relations destructrices. « Les gens qui ne comprennent pas, disent qu’il est nuisible. Mais il était détruit et furieux. Et il en voulait au monde entier »68. « Quand la haine se mêle au sentiment de perte, cela crée un poison qui vous ronge jusqu’à vous consommer d’une fureur si intense que votre capacité à fonctionner comme un être humain s’évapore »69. « Ceux qui n’ont pas d’estime pour soi, ne se préoccupent pas de l’opinion des autres »70. Automutilation : Beaucoup souffrir intérieurement pour se faire souffrir extérieurement. Quand des enfants vivent des choses terribles, lorsqu’ils sont trop jeunes pour vraiment comprendre ce qui les a arrivés, ils sont parfois très furieux, et ils peuvent faire des choses terribles. Quelque chose s’est brisée en eux. « Il provoquait une atroce douleur pour calmer celle que provoquait tout ce qu’il se bousculait dans son esprit »71. Ils ne craignent pas la douleur. « J’avais compris que la douleur physique était la seule façon de faire cesser le supplice que me causaient mes cauchemars »72. « je découvris comment la douleur physique pouvait anesthésier la souffrance psychique »73. |
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